La fête
Aux coeurs de la Médina , pour bercer , le printemps arrivé , sans aucune permission , de l'hiver , qui cherchait , à sécher ses larmes encore
Le parterre , si lumineux fêtait ,les roses du coin , avec des guitares aux sons si romantiques , pour réveiller , ces retardataires , égarés dans le tunnel de l'histoire , qui se cherchent encore pour , vénérer , leur romance violée par les cris stridents , du cheval usé
Ce fût , une virée , dans les cœurs de Mercredi , qui priait pieds nus pour ne pas réveiller , ces loups enragés , qui polluent les roses de la Médina , avant minuit , qui berce encore , la lune gaie
Enfin , la fête fin, car les pages sont bien remplies , des vers sublimes , des poètes de ce temps tant cherché
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